Année de lecture: 2019
Numéro de lecture: #44
Titre: Horrora Borealis
Auteur: Nicolas Feuz
Nombre de pages: 288 p.
Date de publication: 22 août 2018
Résumé:
Tout ce sang qui coule aux pieds de Walker. La question n'est pas de savoir qui est ce cadavre avec une balle dans la tête. Non. La bonne question est : qu'est-ce qui s'est passé en Laponie ? Les souvenirs sont flous, mais ce qui est sûr, c'est que de longue date, Walker ne croit plus au Père Noël. Et vous ? Vous y croyez encore ?
Dates de lecture: du 7 mars au 9 mars 2019
Format de lecture: Papier
Mots-clés:
- Thriller
- Suisse
- Concert
- Laponie
- Neige
- Froid
- Morts
- Sang
Notes et critique:
Ce roman fait partie de la sélection 2019 du Prix des Lecteurs du Livre de Poche.
En Suisse, au bord du lac de Neuchâtel, des coups de feu éclatent soudain en plein festival musical. La foule est rapidement évacuée et la scène devient le lieu principal de la prise d'otage.
Si un négociateur intervient très vite, la police et sa force d'intervention sont sur le qui-vive.
Le preneur d'otage, Walker, ne cesse de se poser une question "Que s'est-il passé en Laponie?"...
Le roman est divisé en deux parties: l'une se passe en Laponie et l'autre de nos jours en Suisse.
Si c'est dans le premier pays que tout a commencé, cela finira en Suisse.
Walker a perdu la mémoire de son passé, mais une choses est sûr pour lui, les événements de Laponie sont la réponse à ses questionnements.
D'une plume percutante et sans détour, l'auteur nous raconte cette histoire remplie de violence. Nous sommes entraînés dans ce récit dès les premiers mots pour ne plus en sortir avant la fin.
Le voyage en Laponie est fascinant de détails. Nous avons l'impression d'être aux côtés des personnages. Il faut dire que l'ambiance avec la neige, le froid et les nuits qui arrivent vite sont le cadre parfait pour une ambiance glaciale d'un polar.
En parallèle, nous suivons un commissaire en fin de carrière qui est hanté par les morts causés pendant sa carrière, ceux sur qui il a enquêté... tout en attendant une réponse médicale concernant son épouse.
Les personnages sont hantés par leur passé, que ça soit Walker qui cherche des réponses sur son passé, ou le commissaire avec les fantômes de sa carrières. C'est la vérité qui sera au bout du chemin, qu'elle bonne ou mauvaise.
La violence sera présente dès le début du roman. L'auteur ne prend pas de pincettes va nous lecteur. C'est cru. L'alternance entre le passé en Laponie et la prise d'otage en Suisse va créer un rythme assez rapide. Les pages défilent sous nos yeux.
La tension ne fait que monter, jusqu'au dénouement final qui m'a laissé sous le choc. D'ailleurs, j'ai eu l'impression que l'auteur souhaitait parfois nous choquer, même à créer le rebondissement le plus glauque possible. Impossible de pas ressentir quelque chose.
En bref, c'est un polar qui m'a laissé sans voix, aux multiples rebondissements qui m'ont tenu en haleine d'un bout à l'autre du roman. Mais la surenchère de violence peut gêner certains lecteurs.
En Suisse, au bord du lac de Neuchâtel, des coups de feu éclatent soudain en plein festival musical. La foule est rapidement évacuée et la scène devient le lieu principal de la prise d'otage.
Si un négociateur intervient très vite, la police et sa force d'intervention sont sur le qui-vive.
Le preneur d'otage, Walker, ne cesse de se poser une question "Que s'est-il passé en Laponie?"...
Le roman est divisé en deux parties: l'une se passe en Laponie et l'autre de nos jours en Suisse.
Si c'est dans le premier pays que tout a commencé, cela finira en Suisse.
Walker a perdu la mémoire de son passé, mais une choses est sûr pour lui, les événements de Laponie sont la réponse à ses questionnements.
D'une plume percutante et sans détour, l'auteur nous raconte cette histoire remplie de violence. Nous sommes entraînés dans ce récit dès les premiers mots pour ne plus en sortir avant la fin.
Le voyage en Laponie est fascinant de détails. Nous avons l'impression d'être aux côtés des personnages. Il faut dire que l'ambiance avec la neige, le froid et les nuits qui arrivent vite sont le cadre parfait pour une ambiance glaciale d'un polar.
En parallèle, nous suivons un commissaire en fin de carrière qui est hanté par les morts causés pendant sa carrière, ceux sur qui il a enquêté... tout en attendant une réponse médicale concernant son épouse.
Les personnages sont hantés par leur passé, que ça soit Walker qui cherche des réponses sur son passé, ou le commissaire avec les fantômes de sa carrières. C'est la vérité qui sera au bout du chemin, qu'elle bonne ou mauvaise.
La violence sera présente dès le début du roman. L'auteur ne prend pas de pincettes va nous lecteur. C'est cru. L'alternance entre le passé en Laponie et la prise d'otage en Suisse va créer un rythme assez rapide. Les pages défilent sous nos yeux.
La tension ne fait que monter, jusqu'au dénouement final qui m'a laissé sous le choc. D'ailleurs, j'ai eu l'impression que l'auteur souhaitait parfois nous choquer, même à créer le rebondissement le plus glauque possible. Impossible de pas ressentir quelque chose.
En bref, c'est un polar qui m'a laissé sans voix, aux multiples rebondissements qui m'ont tenu en haleine d'un bout à l'autre du roman. Mais la surenchère de violence peut gêner certains lecteurs.
Note générale:
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