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lundi 28 septembre 2020

A en perdre haleine de Deb Caletti




Année de lecture: 2020
Numéro de lecture: #181




Titre: A en perdre haleine
Auteur: Deb Caletti 

Nombre de pages:  384 p.
Date de publication:  3 septembre 2020

Résumé:
Sur un coup de tête, Annabelle décide de traverser les États-Unis en courant, soit plus de 4 300 km...

Annabelle est une survivante, même si elle déteste ce terme. Un jour, sans crier gare, elle se met à courir. Dès les premières foulées, son projet prend forme : relier Seattle à Washington, l'équivalent d'un semi-marathon quotidien pendant cinq mois. Parviendra-t-elle à sensibiliser la nation tout entière à son combat ?


Dates de lecture: du 27 septembre au 2 octobre 2020
Format de lecture: Papier


Mots-clés:
  • Famille
  • Course
  • Marathon
  • Colère
  • Etats-Unis
  • Sentiments


Notes et critique:

J'avais beaucoup entendu parler de ce roman avant qu'il n'atterrisse entre mes mains. Intriguée par le résumé, je me suis lancée dans la lecture sans à-priori...

Hélas, je n'ai pas trouvé l'enthousiasme et l'engouement pour ce récit. 
Annabelle décide un jour de tout laisser tomber et se met à courir. Elle a décidé de rejoindre Washington, en partant de Seattle, soit plus de 4300 km à parcourir.

A fil du récit, Annabelle nous fait ressentir ses émotion liées à la course, sa douleur de cette épreuve et des morceaux de son passé, ce qu'il l'a amené à courir. 

Je n'ai pas ressenti autant d'émotions que je le pensais. J'ai trouvé le récit long, autant que le marathon d'Annabelle à travers les Etats-Unis.

Ce n'est qu'à la fin que nous découvrons les raisons qui l'ont poussé à partir. Je trouve ça dommage que les émotions soient concentrées dans les dernières pages. Ces moments sont touchants. Je n'avais rien vu venir de ce point de vue-là, même si le récit tend dans ce sens. Je pense que j'étais trop centrée sur la course pour deviner le passé d'Annabelle.

Autre chose que je n'ai pas apprécié et qui me laissait perdue à chaque fois, c'est le fait de passer du présent au passé directement, d'une ligne à l'autre, sans changer de chapitre, de typologie... Je n'arrivais pas à suivre le cheminement d'Annabelle et ses pensées.

Du coup, je suis un peu passé à côté de ce roman. Dommage...







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