Année de lecture: 2021
Numéro de lecture: #41
Titre: Elle est le vent furieux
Auteur: Cindy Van Wilder, Coline Pierré, Flore Vesco, Marie Alhinho, Marie Pavlenko, Cindy Van Wilder, Sophie Adriansen
Nombre de pages: 291 p.
Date de publication: 6 janvier 2021
Résumé:
Une vieille femme arpente les rues d’une mégapole où les hommes se goinfrent sans vergogne et maltraitent le vivant. Elle constate, s’alarme, et se fâche. Sa vengeance sera terrible…
Marie Pavlenko, Sophie Adriansen, Marie Alhinho, Coline Pierré, Cindy Van Wilder et Flore Vesco sont six autrices phares de la littérature jeunesse contemporaine. Chacune à tour de rôle explore la façon dont Dame Nature laissera libre cours à sa colère.
Jusqu'où ira sa fureur ?
Et saura-t-elle finalement pardonner les êtres humains ?
Marie Pavlenko, Sophie Adriansen, Marie Alhinho, Coline Pierré, Cindy Van Wilder et Flore Vesco sont six autrices phares de la littérature jeunesse contemporaine. Chacune à tour de rôle explore la façon dont Dame Nature laissera libre cours à sa colère.
Jusqu'où ira sa fureur ?
Et saura-t-elle finalement pardonner les êtres humains ?
Dates de lecture: du 1er mars au 2 mars 2021
Format de lecture: Papier
Mots-clés:
- Nouvelles
- Ecologie
- Nature
Notes et critique:
“Elle est le vent furieux” est un livre que je devais lire pour le travail.
J’ai été intriguée par le titre bien sûr et par la présence des auteures qui ont signé ce recueil.
Chacune des plumes donne ici la parole à Dame Nature (Gaïa). Celle-ci en a assez de la bêtise humaine qui la met en souffrance et elle décide de se rebeller, remplie de colère. Car la Terre est en train de mourir...
Si le niveau des nouvelles est assez inégal, j’ai toutefois passé un très moment avec cette lecture que j’ai dévoré d’une seule traite.
C’est un texte qui peut amener à une réflexion auprès des jeunes lecteurs car les auteures abordent avec sincérité et réalisme les problèmes écologiques auxquels nous sommes déjà confrontés et qui risquent de l’être encore plus dans les années qui arrivent, comme la montée des eaux, le manque de ressources pour nourrir la planète, la disparition d’espèces animales…
Le ton des auteures rend les choses très crédibles, hélas… On est véritablement plongés dans ces nouvelles. C’est dérangeant et cela nous bouscule dans notre quotidien. On s’aperçoit que chaque petite chose est importante et que tout le monde doit faire des efforts dans le même sens, pour, peut-être, inverser la tendance, avant que ça ne soit trop tard.
Les émotions sont puissantes pendant notre lecture, comme la colère, la peur, mais aussi l'espoir.
En bref, “Elle est le vent furieux” donne la parole à Gaïa, notre Mère Nature, dont la voix est bien souvent ignorée. On ne ressort pas indemne de cette lecture.
J’ai été intriguée par le titre bien sûr et par la présence des auteures qui ont signé ce recueil.
Chacune des plumes donne ici la parole à Dame Nature (Gaïa). Celle-ci en a assez de la bêtise humaine qui la met en souffrance et elle décide de se rebeller, remplie de colère. Car la Terre est en train de mourir...
Si le niveau des nouvelles est assez inégal, j’ai toutefois passé un très moment avec cette lecture que j’ai dévoré d’une seule traite.
C’est un texte qui peut amener à une réflexion auprès des jeunes lecteurs car les auteures abordent avec sincérité et réalisme les problèmes écologiques auxquels nous sommes déjà confrontés et qui risquent de l’être encore plus dans les années qui arrivent, comme la montée des eaux, le manque de ressources pour nourrir la planète, la disparition d’espèces animales…
Le ton des auteures rend les choses très crédibles, hélas… On est véritablement plongés dans ces nouvelles. C’est dérangeant et cela nous bouscule dans notre quotidien. On s’aperçoit que chaque petite chose est importante et que tout le monde doit faire des efforts dans le même sens, pour, peut-être, inverser la tendance, avant que ça ne soit trop tard.
Les émotions sont puissantes pendant notre lecture, comme la colère, la peur, mais aussi l'espoir.
En bref, “Elle est le vent furieux” donne la parole à Gaïa, notre Mère Nature, dont la voix est bien souvent ignorée. On ne ressort pas indemne de cette lecture.
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