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Année de lecture: 2021
Numéro de lecture: #43
Titre: Fantômes
Auteur: Raina Telgemeier
Nombre de pages: 256 p.
Date de publication: 13 octobre 2016
Résumé:
Catrina et sa famille déménagent sur la côte de la Californie du Nord parce que Maya, la petite soeur de Catrina, est malade. Cat n'est pas contente de quitter ses amies pour Bahía de la Luna, mais Maya est atteinte de la fibrose kystique et l'air frais et salin de la mer lui sera bénéfique. Alors que les deux filles explorent leur nouvel environnement, un voisin leur laisse entendre que des fantômes hantent Bahía de la Luna. Maya veut absolument en rencontrer un, mais Cat ne veut pas en entendre parler. À l'approche du temps où les fantômes vont à la rencontre de leurs proches, Cat doit trouver une façon de surmonter ses peurs.
Dates de lecture: 8 mars 2021
Format de lecture: Papier
Mots-clés:
- Famille
- Bande dessinée
- Maladie
- Fantômes
- Deuil
- Amitié
- Adolescents
Notes et critique:
Aujourd’hui, je vous parle d’une BD empruntée à la bibliothèque où je travaille. J’avais déjà lu, du même auteure, Souriez ou encore Soeurs.
C’est toujours avec autant de plaisir que je me suis plongée dans cette nouvelle histoire.
Contrairement à ces autres titres, l’auteure, Raina Telgemeier ne signe pas ici un récit en rapport avec sa propre jeunesse, mais un récit, rempli de douceur et de tendresse.
Catrina, sa sœur Maya et leurs parents déménagent en Californie pour que la cadette, atteinte de mucoviscidose, puisse aller un peu mieux.
Les deux filles profitent d’un moment pour visiter la ville, qui semble hantée par des fantômes.
D’un dessin rempli de couleurs, l’auteure nous plonge dans cette histoire où il sera question de la famille, de la maladie, du deuil, de l’amitié.
Si les parents sont plutôt enthousiastes à l’idée de commencer une nouvelle vie, l’aînée, Catrina n’est pas aussi en joie. Avec le déménagement, elle a perdu tous ses amis et son collège.
La nouvelle ville n’est pas particulièrement accueillante, avec son vent quasi continu et où le soleil ne se montre que 62 jours par an.
En se promenant dans la ville, les deux sœurs font la connaissance de Carlos, qui les prévient: la ville est hantée. Si Maya est enchantée à cette idée, ce n’est pas le cas de Catrina qui n’y croit pas.
Catrina prend en grippe Carlos.
Je ne vais pas vous en dire plus pour vous laisser découvrir cette BD, destinée aux plus jeunes lecteurs, à partir de 10 ans.
On y retrouve de très beaux portraits d’adolescents, comme l’auteure sait le faire.
On s’attache beaucoup à Catrina, qui tente de protéger sa sœur, de l’aider quand elle ne se sent pas bien. Elle qui voudrait se montrer forte à tous moments, laisse entr’apercevoir quelques fragilités lorsqu’on apprend à la connaître.
Si le deuil et la mort sont très présents dans le récit, l’auteure ne fait pas dans la surenchère, elle réussit même à en parler avec joie, comme le fait de pouvoir retrouver une fois par an nos disparus (le fameux Dia della Muerte, dans la culture mexicaine).
C’est toujours avec autant de plaisir que je me suis plongée dans cette nouvelle histoire.
Contrairement à ces autres titres, l’auteure, Raina Telgemeier ne signe pas ici un récit en rapport avec sa propre jeunesse, mais un récit, rempli de douceur et de tendresse.
Catrina, sa sœur Maya et leurs parents déménagent en Californie pour que la cadette, atteinte de mucoviscidose, puisse aller un peu mieux.
Les deux filles profitent d’un moment pour visiter la ville, qui semble hantée par des fantômes.
D’un dessin rempli de couleurs, l’auteure nous plonge dans cette histoire où il sera question de la famille, de la maladie, du deuil, de l’amitié.
Si les parents sont plutôt enthousiastes à l’idée de commencer une nouvelle vie, l’aînée, Catrina n’est pas aussi en joie. Avec le déménagement, elle a perdu tous ses amis et son collège.
La nouvelle ville n’est pas particulièrement accueillante, avec son vent quasi continu et où le soleil ne se montre que 62 jours par an.
En se promenant dans la ville, les deux sœurs font la connaissance de Carlos, qui les prévient: la ville est hantée. Si Maya est enchantée à cette idée, ce n’est pas le cas de Catrina qui n’y croit pas.
Catrina prend en grippe Carlos.
Je ne vais pas vous en dire plus pour vous laisser découvrir cette BD, destinée aux plus jeunes lecteurs, à partir de 10 ans.
On y retrouve de très beaux portraits d’adolescents, comme l’auteure sait le faire.
On s’attache beaucoup à Catrina, qui tente de protéger sa sœur, de l’aider quand elle ne se sent pas bien. Elle qui voudrait se montrer forte à tous moments, laisse entr’apercevoir quelques fragilités lorsqu’on apprend à la connaître.
Si le deuil et la mort sont très présents dans le récit, l’auteure ne fait pas dans la surenchère, elle réussit même à en parler avec joie, comme le fait de pouvoir retrouver une fois par an nos disparus (le fameux Dia della Muerte, dans la culture mexicaine).
Pas question de tristesse donc, mais une occasion de se souvenir des bons moments, de faire la fête, en construisant des autels dédiés à la mémoire des disparus.
En bref, on passe un très moment en compagnie de “Fantômes”, grâce à des personnages attachants et très hauts en couleurs.
J’ai adoré!
En bref, on passe un très moment en compagnie de “Fantômes”, grâce à des personnages attachants et très hauts en couleurs.
J’ai adoré!
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